La je le mérite !

La dernière parution de Mustang & Shelby 

Je suis tombé amoureux de la 68 Blanche 

 

Article dans Caradisiac sur la côte des Mustang :

Citation
À l'occasion du Salon Rétromobile, 40 millions d'automobilistes publie son baromètre 2018 des véhicules de collection les plus convoités. Le Top 10 est un mélange de véhicules populaires et de coupés sportifs.

Le marché du véhicule de collection se porte bien. Et cela ne concerne pas seulement les voitures d'exception : les modèles populaires d'après-guerre sont de plus en plus recherchés, comme le montre le baromètre 2018 du véhicule de collection réalisé par l'association 40 millions d'automobilistes avec les données du réseau Classic Expert, dévoilé en préambule du Salon Rétromobile.

Ce sont des plaisirs raisonnables, qui peuvent même être de bons petits placements, même si certains sont prêts à faire des folies : il y a quelques jours, une des premières 2CV a été vendue aux enchères plus de 70 000 € ! C'est d'ailleurs la petite Citroën que l'on retrouve en tête du classement. Elle gagne une place et succède à la Fiat 500, qui a disparu du Top 10. Sa côte selon le baromètre 2018 est comprise entre 6.000 et 17.000 €. Comme toujours, la fourchette de prix est large, car le tarif dépend de l'âge du véhicule, de sa version, de son état, de sa provenance, de son historique...

En deuxième et troisième position, on trouve les premières générations de deux autos qui existent en version moderne : la Ford Mustang, en hausse de 4 places, avec une cote de 14.000 à 60.000 €, et la Mini, une entrée du classement, avec une cote de 4.000 à 34.000 €.

Le baromètre confirme aussi l'engouement pour les sportives, avec la 911 en 6e position ou encore l'Alpine à la 10e place. L'attrait pour cette dernière est sûrement renforcé par l'arrivée de la nouvelle génération. Sa cote démarre à 50.000 €, soit à peu près le prix de la neuve !

Le baromètre 2018 du véhicule de collection
Rang   Modèle   Cote   Évolution classement
1   Citroën 2CV   de 6.000 à 17.000 €   + 1
2   Ford Mustang (jusqu'à 1973)   de 14.000 à 60.000 €   + 4
3   Austin Mini   de 4.000 à 34.000 €    Nouveau
4   Volkswagen Cox   de 8.000 à 40.000 €   - 1
5   Citroën Méhari   de 14.000 à 32.000 €   Nouveau
6   Porsche 911   de 45.000 à 320.000 €   + 2
7   Citroën DS   de 10.000 à 60.000 €   - 3
8   Volkswagen Combi   de 12.000 à 60.000 €   Nouveau
9   Triumph TR6   de 20.000 à 28.000 €   Nouveau
10   Alpine A110   de 50.000 à 120.000 €   - 1

Dans le dernier Nitro, un article sur la Mustang de Steeve Mc Queen.

et le premier proto Shelby GT350 de 66

Un court essai sur le moniteur automobile (web)

Sur Largus un article sur la mustang 2018.

http://www.largus.fr/actualite-automobile/essai-ford-mustang-2018-notre-avis-sur-les-mustang-ecoboost-et-v8-gt-9081395.html

Mouais .....faut aimer ...... Mon avis perso : un intérieur qui ne ressemble plus à rien 
Le bloc compteur est un désastre ....
Vraiment une caisse trop moderne et surtout très "Européenne" !!
Gardez vos G1 et G5 ....

Par contre le gars n'a pas aimé les Recaro parce qu'ils serrent trop le haut du corps mais ne maintiennent pas assez 

Perso, la Mustang est pour moi une belle carrosserie et un V8 bruyant. A priori, la 2018 respecte ça.
Si je voulais du premium, je claquerais 15.000 € de plus pour une BM ou une Audi, mais les caisses de frime pour yo casquettes, c'est pas mon truc.

Dans le dernier autoretro de juin 2018, un article sur la très rare Mustang Olympic Sprint de 72

143 ch pour 1,600 T .....waaaaaah quel rapport poids/puissance 

Ensuite ce modèle .......................faut aimer , c'est pas ce qui représente le mieux LA Mustang 

c'est pas la mieux mais c'est pas la pire non plus 

La pire Mustang qui existe, c'est...


... celle qu'on n'a pas 

Il y en avait une au Mustang Day 2018 

EDIT : De plus c'est celle du reportage (même plaque du 91    )

Dans le sport auto classiques qui vient de sortir, un sujet sur la Boss 302 modèle 70. 

 

Extrait, pour les modèles 71/73:
"Nous savons aujourd'hui que la hausse des prix des assurances de l'époque, basés sur la puissance réelle des moteurs, a poussé les constructeurs à dégonfler virtuellement leurs chiffres"...